HISTOIRE : (20 lignes minimum)[...] Alors que les ténèbres approchent, la flamme s'éveille. Les veilleurs immortels, debout depuis la nuit des temps, naquirent du souhait d'un enfant et d'un enfant ils disparaîtront. Mais du souffle du dragon un chemin s'ouvrira et du son du cor, les veilleurs reviendront. Debout jusqu'à la fin des temps, protecteur d'Azeroth.... [...]
Passage du livre Les prophéties de Medivh, traduit par Toldo.
Cinq années de conflits, de guerre, n'ayant au final apporté que désolation. Après la grande victoire des créatures d'azeroth et la destruction du portail de la légion personne n'aurait crues que la guerre et les sacrifices reviendraient si tôt. Les hordes de Ner'Zhul provoquèrent un nouveau chaos et malgré le courage de l'alliance ils ne purent empêcher le sacrifice de tant d'innocent, périr dans cet autre monde, Draenor.
Mais une paix de dix années arriva finalement, elle débuta en même temps qu'arriva un jeune enfant de quelques mois, dérivant sur les flots dans son berceau de roseaux, emmitouflé d'un tissu étrange et de bonne facture. Bercé par les flots il s'arrêta finalement sur une berge, coincé par les plantes. Ses pleurs attirèrent l'attention d'un vieux Tauren à la fourrure blanche et vêtu de noir. Il se nommait Toldo, un veilleur, un protecteur d'azeroth. Il prit ce petit humain à la tignasse déjà épaisse et scruta l'amont de la rivière, le vent soufflait étrangement, la magie était à l'oeuvre. Ce jour-là, il savait que cet enfant n'était pas arrivé là par hasard, c'était l'oeuvre de la main de la destinée. Il adressa une prière aux dieux et promit de se charger de cet enfant.
Et les années passèrent. L'enfant grandissait et se mit à parler qu'une fois âgé de six années. Jusque là, le clan le prenait pour un idiot, un don des dieux empoisonné. Mais Toldo savait lire autrement que par ce que ses yeux lui montraient. Et il savait... Il savait que cet enfant était autre chose que ce qu'il laissait paraître. Il apprenait d'ailleurs à une vitesse folle, comprenant des choses en quelques jours ou semaines qui pour beaucoup avait demandé des années de pratiques, de recherches. Il apprit à être un veilleur et veilleur il fut. Très jeunes et très tôt, trop tôt peut être. La plupart des veilleurs avaient été quelqu'un d'autre avant de devenir un gardien d'azeroth, pour l'être il ne suffisait pas d'être fort, mais de posséder cette sagesse. Alors que le clan admiraient sans méfiance les prouesses de Arn, Toldo commençaient à ressentir d'étranges intuitions....
Arn passait la plupart de son temps loin des autres, toujours près des forêts ou ce qui s'en rapprochait le plus. Il avait une étrange attirance pour la faune et la flore, cette impression de devoir la protéger, l'aimer. Il se demandait parfois s'il ne préférait pas la compagnie de ses camarades animal à celle de ses semblables, les veilleurs. Bien qu'il pouvait ressentir d'étranges choses parfois, comme quand il se retrouvait aux côtés de Laeris. La seule autre humaine de son âge. Elle était un peu comme lui, solitaire et têtu, mais elle était bien plus bagarreuse que lui et surtout collante.... Toujours en train de le chercher et d'essayer de rester à ses côtés. Tout comme lui, elle était orpheline et c'était Alban et Laedwyn, l'un le forgeron du clan et la deuxième l'une des meilleures manieuses d'épée de la tribu, qui l'avaient recueilli après l'avoir trouvé dans les ruines d'un village ravagé par la légion. Même s'il ne le montrait pas il appréciait parfois d'être avec elle, même s'ils ne parlaient pas beaucoup. Tout autant qu'il appréciait d'être en compagnie de son père, Toldo, il adorait être avec lui et l'écouter, apprendre, il semblait savoir tant de choses et c'était peut-être le seul à être capable de voir au fond de son coeur.
Mais la guerre surgit à nouveau sur les contrées d'azeroth et la tribu se mit en branle. Elle avançait, toujours, vers les lieux où naissaient et disparaissaient les conflits. C'était leur rôle, veiller à protéger les terres de ce monde. Le coeur de la tribu en elle-même ne se mêlait pas des conflits, mais les veilleurs étaient envoyés seul ou par petit groupe. Et durant cette guerre qui foudroya les bases même de ce monde les enfants étaient souvent seuls, s'inquiétant quant à savoir si leurs parents reviendront. Et comme tous, il fut temps à Toldo de partir, mais son absence dura plusieurs années. Arn grandissait et durant l'absence de son père il avait été élevé au rang de veilleur, comme d'autres des enfants, trop jeunes surement, mais la guerre n'attend pas. Ils firent quelques missions, mais cela n'alla jamais plus loin que de l'observation ou de l'exploration. Et parmi eux certains se languissaient de pouvoir affronter le fléau de face, arme en main.
Et un jour, Toldo revînt. Il paraissait encore plus vieux qu'avant, plus fatigué et plus sombre peut être. Il parlait peu et semblait garder ses distances tout en passant ses nuits et ses jours dans sa tente, plongé dans des bouquins. Il ne parlait à personne de son périple, du moins personne ne voulait en parler aux enfants et encore moins à Arn. Et quant à lui, il ne cessait de demander à son père de pouvoir partir, lui aussi, combattre. "Plus tard, plus tard" était tout ce à quoi il avait eu droit de la part de son père.
Arn ne put s'empêcher, avec sa troupe d'ami, Laeris, Tyrain, Gaerys, Lhodr et Grishnar de partir, un soir, secrètement explorer ce qui était peut-être un repaire du mal, contrôlé par le fléau. Une fois sur place ils découvrirent effectivement des hordes de morts-vivants, d'abomination et autres création du roi liche. Très vite Arn ne se retrouva plus qu'avec Laeris alors qu'ils exploraient le temple. Les autres s'étaient défilés les uns après les autres, cela devenait trop dangereux...
Ils se faufilèrent discrètement jusqu'à une immense salle, là une Liche semblait discuter avec une étrange apparition au sujet d'un objet de la taille d'un poing. De la conversation les deux jeunes gens comprirent que c'était un artéfact destiné à anéantir les vivants, une arme redoutable devant servir aux desseins du Seigneur Liche. Le détenteur de l'objet le déposa sur un piédestal au milieu de la pièce et s'en alla. Arn décidé que c'était l'occasion de détruire cet objet et malgré les avertissements et inquiétudes de son amie, il s'avança jusqu'à l'artéfact. Il le prit d'une main, prêt à l'emporter avec lui. Mais une étrange lueur se dégagea de l'objet et Arn se mit soudainement à crier de douleur, pour tomber au sol. Toujours conscient il hurla à Laeris de fuir, de prévenir les autres. Effrayée, elle l'écouta et se sauva.
Elle arriva finalement au campement et réveilla tout le monde en hurlant, appelant à l'aide. Des groupes commençaient à s'organiser pour partir au secours du jeune veilleur quand celui-ci apparut soudainement à l'orée de la forêt, silencieux, marchant avec difficulté, murmurant des choses indistinctes. Ils s'approchèrent pour l'aider et il était déjà bien trop tard pour comprendre ce que le jeune homme essayait de dire."Fuyez! " Ses yeux étaient rouges, des larmes s'écoulaient en torrent le long de ses joues, mais son regard trahissaient une envie de sang, de destruction. Pour Arn tout ne devînt qu'obscurité quand il ne put plus lutter contre cette force terrifiante en lui.
A son réveil il ne vît qu'un camp calciné, des corps sans vie, désarticulés tel des pantins, gisant au sol. Il ne comprenait pas ce qu'il s'était passé et petit à petit les souvenirs resurgirent, l'exploration du temple, l'artéfact, cette entité prenant possession de son corps, se riant de lui et de sa faiblesse, la marche jusqu'au camp, la mort, le feu, le sang, les cris de souffrance, les reproches... Il n'en avait épargné aucun ! Il hurla de rage, de frustration, de tristesse. Puis il chercha comme un dément, identifiant tous les corps, leurs noms, leurs visages, avec l'espoir que quelqu'un ai pu survivre. Les uns après les autres, son espoir s'effilochait, disparaissait comme une bougie soufflée par le vent. Laeris, il ne manquait que Laeris ! Elle n'était pas là, pas là dans le camp, mais pas si loin. Elle gisait sans vie dans les herbes hautes près de la rivière, les yeux grandsouverts, donnant l'impression d'être emplit de stupeur, de reproche. Qu'est-ce qu'il pouvait détester ce regard ! D'une main il abaissa ses paupières, ne pouvant en supporter plus, il la serra contre lui, de toutes ses forces, pleurant, gémissant. Ils étaient tous mort, son père, son amie, ses compagnons, ses oncles et tantes, tous sans exception. Ils étaient pour lui sa famille, la seule. Il resta jusqu'à ce qu'il ai pu tous leur donner une sépulture selon leur coutume, brûler les corps et enterrer une partie des cendres, une autre semée au vent et une autre lancée dans les flots.
Et il s'en alla, seul, sans but...
Il erra durant plusieurs jours, l'esprit vague, les yeux vides, aujourd'hui encore il ne pourrait pas dire combien de temps son errance dura, mais elle toucha à sa fin quant il sombra inconscient au bord d'une route. Une troupe d'homme en arme était passée par là, des chevaliers de la croisade écarlate. Ils l'avaient soignés, nourris et logés jusqu'à ce qu'il soit suffisamment remis pour que quelqu'un vienne l'interroger. Un vieil homme. Arn resta muet et chaque jours le vieil homme venait prêt de lui, lui parlant de ce qu'il se passait dans la citadelle de la croisade, son histoire, ses valeurs et leur but commun. Ce fut deux semaines plus tard que arn pris la parole pour la première fois depuis la massacre de sa tribu. Il raconta qu'il faisait parti de la tribu des veilleurs, qu'elle avait été massacré par les morts et qu'il était le seul survivant. Il omit de dire que c'était lui qui avait exterminé sa tribu, terrifier à l'idée de finir brûlé sur un bûcher ou passé au fil de l'épée... Le vieil homme ne connaissait pas cette tribu et s'en trouva désolé, mais proposa à Arn de rester autant qu'il le voulait, cet endroit était comme chez lui. Arn n'ayant nul part où aller, perdu et avec un nouvel objectif en tête naissant petit à petit, même si sa tristesse était bien plus forte que sa colère, les graines de la vengeance était entrain de germer. Il resta donc parmi la croisade écarlate et devint finalement un apprenti, un écuyer et finalement un chevalier au bout de deux années. Durant cinq ans il batailla aux côtés de ses frères d'armes, discret en société, dans la bataille il devenait une furie, ne laissant aucun mort-vivant lui échapper. Sa rage était connu et admiré tout autant qu'elle était redouté. Il aurait pu gravir rapidement les échelons si ce n'était son attitude froid et distant et les nombreuses bagarre dans lesquelles il se retrouvait. Pour ses frères, il n'avait pas l'esprit de camaraderie, il n'était pas fiable ou tout simplement parce qu'il était bizarre. Le fait qu'il puisse utiliser la magie de façon instinctive, sans pour autant avoir étudier auprès d'un maître et ses crises fréquentes rendait méfiant tout le monde. Il fut rapidement pris sous l'aile et la protection d'un archimage de l'ordre très puissant qui voyait en lui un phénomène, une possibilité unique d'étudier un cas unique. Tout en lui apprenant les arcanes de la magie il l'étudia, sans pour autant comprendre ce lien étrange, cette affinité avec la magie aussi puissante.
C'est ainsi qu'il passa ces années, pratiquement seul, mis de côté par ses frères, pourchassant démons et morts et apprenant à user au mieux de ses capacités auprès de son maître. Jusqu'au jour où il fit la rencontre d'un homme, surement du même âge que lui, un regard si dur et plein de colère. Dès qu'il le vit pour la première fois il sut qu'ils étaient pareils, animés de cette même rage. Il était le chef des champions du crépuscule, un ordre formé après un schisme avec l'aube d'argent. Lui et ses frères venaient de rejoindre la croisade écarlate. Ils finirent par se rencontrer après que arn soit détaché dans le régiment et sous les ordres de uriel. Beaucoup étaient heureux de ne plus avoir à faire à la folie, bizarrerie de Arn. Dès le premier contact, les deux hommes s'entendirent très bien et Uriel put compter sur lui pour protéger ses arrières quand il le fallait, car sa bestialité sur le champ de bataille faisait de lui un guerrier utile dans l'extermination du fléau. Il n'était pas forcément plus doué qu'un autre avec une épée à la main, mais sa rage et ses capacités magiques le mettait hors du lot. Ils devinrent vite amis et arn devint un bras droit inébranlable et sur, il avait trouvé en Uriel un catalyseur, quelqu'un capable de contrôler ses pulsions meurtrière ou suicidaire (selon certains). Quoiqu'il arrive, la voix de son amis et commandant parvenait toujours à ses oreilles, un lien étrange qui s'était tissé entre eux. Inconsciemment, Arn avait noué ce lien grâce à sa magie, d'après ce qu'en avait conclus son vieux maître.
Les années passèrent une nouvelle fois, trois ans, durant lesquelles Uriel et arn combattirent le fléau. Arn avait enfin trouvé sa place aux côtés de son ami. Mais son passé le rattrapa...
Ils avaient été envoyé en mission, sur une des supposés bases avancées du fléau. Une vieille cathédrale abandonné, il devait faire une frappe éclair. Pénétrer dans le bâtiment en les prenant par surprise et les exterminer avant qu'ils ne puissent organiser leurs défenses. Leur troupe se composait d'une poignée d'homme seulement, mais les meilleurs. Tout sembla se passer comme prévu, ils avancèrent rapidement jusqu'au coeur des catacombes en éliminant les menaces sur le chemin. Ils arrivèrent dans une immense salle, des racines s'étant forcées un chemin à travers les pierres, pendouillant au plafond. Au milieu une créature squelettique, vêtue d'une immense tunique violette aux ornements macabres. Elle se tourna vers le groupe d'un rire tonitruant.
" Vous êtes bien naïfs...."Des hordes de cadavres surgirent des ombres et du sol, encerclant la croisade écarlate. Tous dos à dos ils firent un carnage, les créatures tombant sous la pluie des coups de lames. Mais à chaque mort, un autre le remplaçait, tandis que ceux tombaient se relevaient. Arn compris rapidement qu'ils ne pouvaient continuer à tenir indéfiniment et un regard à Uriel lui indiqua que lui aussi avait saisit le danger. Uriel hurla ses ordres et ensemble se frayèrent un passage jusqu'à la liche. Arn sentit cette pulsion obscur l'envahir et le reste de la scène ne devint qu'une brume écarlate. Quant il reprit ses esprit il était penché au dessus de la créature, épée brandit. Il entendit la voix de Uriel derrière lui, hurlant son nom. Arn se détourna de sa cible, Uriel maintenait un homme en tenant son bras autour de ses épaules, tandis qu'un autre se trouvait à ses côté, se tenant la hanche. Il ne restait plus qu'eux, les autres gisant entre les montagnes de cadavres décrépis du fléau.
" AAHAHAHAH.... Je te reconnais.. toi!... Quelle ironie...!"Arn se tourna à nouveau vers le mort-vivant, son épée toujours au dessus de celui-ci. Il mit quelques secondes avant de le reconnaître, c'était elle qu'il avait vu il y a de ça dix ans dans cet endroit où il fut maudit. La peur envahit chaque pore de la peau de Arn, les jambes tremblantes il recula et laissa tomber ses bras, sa lame frappant le sol sans force.
" Tu me reconnais donc.... Mon maître avait raison, tu devais venir ici et tu es venu... Il a trouvé tout aussi hilarant que moi que tu finisse par rejoindre la croisade écarlate!... Oh mais il est vrai qu'ils ne sont pas au courant pour toi... non?"Arn sentit que la situation allait lui échapper, son passé venait de surgir en quelques instant, le laissant sans défense. Ses frères d'armes ne devaient rien savoir, ils étaient tout pour lui, sa nouvelle famille, son nouveau but. Une fois encore il allait tout perdre... encore... De sa voix forte, Uriel l'interpella.
" De quoi il parle Arn?!!! De quoi parle t-il bon sang?!!"Arn ne répondit rien, les épaules affaissées et c'est la liche qui répondit à sa place.
" Votre frère d'arme n'est autre qu'un jouet de mon maître... Un simple pantin qu'il manipule à sa guise pour accomplir ses plans. Comment pensez-vous qu'à chaque fois nous arrivions à déjouer vos plans? AHAHAHAH... Mon existence n'a qu'un seul but, comme votre ami, ce cher Arn, si naif... "Arn sentit toute son existence s'effondrer, il n'avait plus rien, comment pourrait-il regarder en face ses amis avec ces révélations? Etait-il vrai que tout ce qu'il avait fait jusqu'à maintenant n'était qu'une manipulation de cette abomination qui essayait de s'emparer de lui? Il n'en avait aucune idée, aucune. Non, tout ça n'était que pure invention pour le briser à nouveau et s'emparer de son âme, il n'en était rien...
" MENSONGE! Il ne m'a pas encore prit! Je prends mes propres décisions! Il ne me.. CONTROLE PAS!!!!"D'un coup arn leva son arme, les yeux pleins de haine et de terreur, l'abattit sur la créature qui lâcha un long cri d'agonie. Elle attrapa la main de son bourreau et dans un rire à moitié étouffé par la douleur lui dis ces derniers mots.
" Voilà pourquoi mon maître m'a octroyer toute cette puissance.. regarde donc le cadeau qu'il te fait... grâce à moi... tu rejoindra enfin nos rangs.... "Une étrange énergie obscur s'échappa du corps de la créature et s'agrippa à la main de arn. Il sentait sa main brûler, cette énergie démoniaque l'envahir, il hurla de douleur et tomba à genoux.
"TRAITRE!!!"C'était Uriel, derrière lui, il s'était approché en chargeant, il allait l'achever. Arn malgré sa souffrance leva son épée de son autre main et para le coup de son vieil ami. Ils n'avaient pas besoin de parler, dans leurs coups et leurs regards tous leurs sentiments se déversaient. Il était trop tard pour faire marche arrière, Arn sentait la malédiction des non mort envahir son corps. Il bataillèrent jusqu'à leur limite physique, arn sentait qu'il allait finir par flancher, sa conscience sur le point de se briser. Puis dans un éclair bleu il disparut... Devant Uriel il n'y avait plus personne, juste lui et ses frères encore en vie.
Tandis que arn se retrouva au bord d'une rivière en plein milieu d'une forêt, sombrant à nouveau dans ce cauchemar de chaque nuit. Sauf que là, tout semblait différent....
[Suite à venir!]
SITUATION ACTUELLE : (5 lignes minimum) Pourchassé par la croisade écarlate, le fléau et un groupe inconnu il ne cesse de fuir, se cachant derrière sa longue cape quant il se retrouve en ville, tachant de se faire aussi discret que possible, sans encore vraiment savoir ce qu'il devrait faire. Depuis sa dernière rencontre avec le serviteur de la liche, il sent un mal puissant le ronger, la marque de sa main le brûlant, une douleur lancinante qui ne fait que gagner du terrain, tandis que la peau de sa main devient aussi pâle que l'ivoire et ses veines noircissent. Il ne sait pas ce que cette abomination à réveillé en lui, mais la magie en lui le protégeant se fait de moins en moins efficace, il doit donc trouver quelqu'un qui en saurait plus... Il se trouve à hurlevent, espérant trouver un livre dont il aurait entendu parler à propos d'une malédiction ressemblant à la sienne.