Stultitiae Laus.



 
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Stultitiae Laus.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Zhang Mortelune

Zhang Mortelune



Feuille de personnage
Race: Mort-Vivant
Classe: Autre
Statut et/ou Métier(s): Alchimiste ~ Apothicaire ; Herboriste.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 16 Oct - 18:47


Zhang Mortelune
Citation de votre choix ou icônes ; Elle a lavé nos chairs pourries,
Changer nos pansements...




Identité
RACE : Si l'on en juge par son apparence, un mélange entre humaine et réprouvée. Mais en réalité, personne ne sait quelles sont ses vraies racines. Même Zhang l'ignore.
AGE : Une quarantaine d'année, pas plus.
LIEU DE NAISSANCE : Inconnu. Elle fut trouvée au Compté-de-Darrow, dans les Maleterres de l'Est.
SEXE : Féminin, pour sûr.
FACTION : La Horde.
CLASSE ET/OU MÉTIER : Autrefois, nécromancienne, avec des aptitudes en démonisme. Autrement, si elle devait exercer un métier, ce serait celui d'alchimiste, ou maître de potions.
CHANSON THÈME : Short Hair & Simbelmynë.

Caractère
DESCRIPTION DU CARACTÈRE :
Derrière la blancheur factice de son masque, derrière le rictus de mépris, derrière le regard à la fois provoquant et sans expression, Zhang dissimule bien des choses. La discrétion, avant tout. Elle ne se fait que peu remarquer, ne parle que lorsque le besoin se fait sentir, ou pendant une conversation qu'elle jugera intéressante. Parler pour ne rien dire, non. Parler pour agir, oui. Avec cela, s'accorde son intelligence et son efficacité. Elle réfléchit beaucoup, analyse beaucoup, observe parfois trop, et finit toujours par trouver les solutions qu'elle cherche. Acharnée comme deux, elle a pourtant une définition particulière de la fidélité. Déchirée, partagée entre deux camps, elle a cependant juré allégeance à la Dame Noire, qui lui a causé une demi-mort, mais lui a évité la Mort. Pourtant, Zhang est une personne digne d'une confiance presque absolue. Même la plus banale des déclarations qu'on lui fait, ne sera jamais divulguée dans le vent. Il faut savoir lui poser les bonnes questions. Mais la presque-humaine n'est pas réellement vivable. Égoïste à en crever, lunatique pour un peuple entier, et impulsive, bien que sa réflexion soit efficace, elle peut tout lâcher en une seconde. Mauvaise habitude de trouver ses plans stupides une minute après les avoir imaginés. Digne de confiance, certes, mais pas pour les projets de dernière minute. Cependant, minutieuse, appliquée et sérieuse, elle a beau aimer sa liberté, elle obéit, et suit les ordres qu'elle reçoit, sans jamais contester. Même lorsqu'elle n'est pas d'accord. Loin d'être colérique, elle fulmine seulement quand elle est seule, et ne s'énerve que rarement. Quoique, il lui arrive d'être en colère. Mais cette rage ne s'exprime pas avec des cris, la Mortelune sait la faire sortir autrement. Pleine de ressources, ingénieuse, elle peut se tirer de quasiment toutes les situations, même désastreuses. Dommage que Zhang soit si cruellement orgueilleuse, susceptible et possessive. Cela fait boiter l'équilibre parfait de sa personnalité, et lui cause souvent des ennuis. De plus, contrairement à la jalousie ; son orgueil et sa possessivité, elle n'hésite pas à les crier au grand jour. Elle n'a pas honte de cela, bien qu'on le lui reproche. C'est là qu'elle se vexe. Cercle vicieux de défauts encombrants. La jalousie dans tout ça, c'est ce qui la rend folle. C'est le seul sentiment qui lui cause tout ce déséquilibre mental. Elle ne veut pas être une figure emblématique, comme la Dame Noire, elle n'a que faire du respect des autres. Non, elle jalouse les gens qui menacent l'amour que ses... proches, lui porte. Et encore, lorsqu'ils savent lui montrer leur affection. Zhang est terriblement jalouse. Il lui arrive de faire des crises de délire, à force de ruminer ses sentiments. Bien que cela ne se devine pas le moins du monde, elle est au bord de la schizophrénie. D'une part, stoïque et obéissante, de l'autre, insolente, orgueilleuse et violente. Car oui, quand cela lui prend, elle peut se montrer sadique comme jamais, violente et avide de sang. Il faut savoir que psychiquement, Zhang se prétend forte, et résistante, mais elle est bien loin de l'être réellement, en conflit permanent avec ses démons intérieurs, elle parvient quand même à dissimuler ses faiblesses.Toutefois, en règle général, Mortelune est toujours provocante, bien que stoïque, méprisante, et monstrueusement prévoyante.
COMPORTEMENT SOCIAL :
En compagnie des autres, elle ne prendra la parole que quand on s'adressera à elle. Zhang préfère écouter, et retenir tout ce qui se dit, cela peut toujours servir. Lorsqu'elle est face à un conflit, elle parle en dernier, prenant le temps de réfléchir à une solution, et à toutes les éventualités possible de contre-carrer cette solution. Mais, lorsqu'on fait appel à elle, pour un souci, quel qu'il soit, si elle juge que son idée est vraiment très bien pensée, elle l'a gardera pour elle. Égoïste. Autrement dit, son caractère avale même les paroles des autres.
RÉACTION FACE AU DANGER :
Un tantinet téméraire, Zhang préfèrera foncer dans le tas, pour improviser un plan au fur et à mesure que les évènement s'enchaîneront. Cependant, loin d'être suicidaire, si le combat n'est pas à son avantage, elle n'hésitera pas à fuir, si telle est la solution. Mais il lui arrive d'être victime des pulsions de violence, dans un tel cas, rien ne comptera plus, à part disloquer le corps de son adversaire.


Physique
DESCRIPTION PHYSIQUE :
Quand on la distingue, derrière une voile de brume matinale, on est fasciné et révulsé en même temps. Révulsé par sa peau si terne, grisâtre sous certaines lueurs. Ne vous rappelle t-elle pas la peau des réprouvés ? En plus.. laiteuse, si l'on puis dire. Puis, ce visage d'albâtre, ces mâchoires délicatement structurée, ses lèvres charnues, d'un pourpre délavé, les iris noires, se confondant aux pupilles. On dirait... Non, on ne dirait rien. Tout ce que vous pouvez déduire, c'est que l'humanité l'a quitté. Cette chevelure de jais, négligemment noué, en chignon, retenue par un peigne en acier, orné d'une pierre de jade. Elle flotte, dans la brise, vous semble longue. En effet, lorsqu'elle retire le peigne, ses cheveux glissent sur son dos et s'arrête en haut de ses cuisses. Même loin d'elle, vous les trouvez brillants, soyeux. Peut-on dire qu'elle est belle ? Non. Son expression faciale est bien trop étrange. Une moue dédaigneuse, le fantôme d'un sourire de provocation, le regard morne. Elle vous dégoûte, d'une certaine manière. Puis, regardez son dos, balafré et maigre comme pas permis. Sa colonne vertébrale se dessine, comme celle d'un lézard. Sa poitrine est anorexique aussi, pourtant, ses formes de femme sont là, et plutôt généreuses. La courbe de ses seins se distingue à peine sous sa robe informe, faîtes de multiples voiles gris qui la rende noire. Le vent la soulève légèrement. Ses mollets sont musclés, bien que fins. On lui devine des cuisses elles aussi, musclés. Un corps de contradiction. Le bas est celui d'une femme habituée au combat, à l'effort physique, le haut, à celui d'une gamine maigrelette et faible. Ses épaules semblent pouvoir se déboîter, tant elles sont fines. Ses bras, bien qu'un peu épais, ne feraient pas le poids même face à un elfe qui n'a jamais porté d'armes. Elle est pieds nus. La brume se dissipe et laisse mieux voir sa silhouette, grande, plutôt svelte. Elle est même étrangement grande, pour une femme. Sa main, délicate, aux phalanges apparentes, tient un sabre, dans son fourreau. L'autre, a gardé le peigne métallique au creux de sa paume. Elle a de belles mains. De longs doigts, des ongles mi-longs, qui poussent droits, aucune imperfection dans ses mains. Elles sont sublimes. Même la noirceur sur le bout de ses doigts est parfaite. Seule ses mains sont enchanteresses. Le reste est trop écœurant. Elle se met à avancer, d'une démarche masculine et déterminée. Le son d'un cliquetis répétitif se fait entendre. Autour de son cou, de multiples chaînes, métalliques, elles aussi, s'entrechoquent. Des bijoux, un peu partout. Ses poignets, ses doigts, des colliers. Une paire de gant dissimulée dans le décolleté. Elle regagne la citée souterraine, disparaître dans l'ombre, s'y fondant, comme une tâche d'encre vagabonde qui s'évade un instant, pour mieux revenir...
STYLE VESTIMENTAIRE :
Ses vêtements varient, entre les robes bien trop larges, laissant voir tout son dos et le haut de sa poitrine maigre, ainsi que quelques formes discrètes. Traînant légèrement par terre, et retenue par de très fines bretelles, sous des capes à large capuches, on peut dire que ce soit ses vêtements les plus courants. Mais il lui arrive de porter des armures très particulières, qu'elle est à coup sûre la seule à porter. De temps en temps, lui vient l'envie de concevoir et de vêtir des tenues qu'elle dit propre à son pays, qui sont en fait des sortes de robes étranges, faîtes d'une ou deux couches de tissu, tenues par des ceintures épaisses. [Appelés plus communément aujourd'hui, kimonos, mais en moins authentiques -moins de couches, etc].
SIGNE(S) DISTINCTIF(S) ET PARTICULARITÉS :
La colonne vertébrale de Zhang est effroyablement apparente lorsqu'elle se penche, mais on peut voir deux cicatrices verticales se dessinant le long de son dos. Leur origine reste inconnue. Mais là ne s'arrête pas les particularités de la Mortelune. Elle possède plusieurs tatouages, représentant des caractères d'une langue inconnue, à divers endroits, comme derrière l'oreille ou sur la cheville. On peut voir qu'elle se pare souvent de bijoux en acier, dans les cheveux, autour du cou, ou autour des doigts, quand ses mains ne sont pas gantées. Parfois maquillée, toujours dans les tons noirs et pourpres.



Réseau social et opinion politique
STATUT SOCIAL : Menteuse. Plus officiellement, paria.
RELATIONS : Pour le moment, que nenni. Zhang ne côtoie personne à proprement parler.
OPINION(S) POLITIQUE(S) : La politique est le dernier des sujets susceptible de l'intéresser.


Histoire du personnage
HISTOIRE :
Il faisait sombre. Sombre et froid. La nuit était à son apogée. La lune, plus haute et blanche que jamais. Non loin d'une rivière, un village dormait. Presque. Il restait des lueurs, à la fenêtre d'une des maisons. Lueurs tremblante et hésitante de quelques bougies à l'agonie. Dehors, rien ne venait entraver la mélopée du vent nocturne, frais et sifflant, qui murmurait des secrets aux lys. Qui leur révélait les sombres jours qui se dessinaient à l'horizon. Dedans, deux silhouette, penchées sur quelque chose. Un homme, bien bâti, vêtu d'une tunique et d'un pantalon, digne de ceux que porte parfois les chevaliers, ou autres soldats. A ses côtés, une femme, avec une simple robe de paysanne, aux couleurs violacées, magnifiquement bien cousue. Ses cheveux, châtains si clairs, qu'ils en paraissaient presque blonds, glissaient dans son dos, délicatement ondulés. Son visage était fin, potelé, elle était sublime. Avec ses deux grandes iris bleus. Une mine protectrice et chaleureuse au visage. L'homme quant à lui, affichait un air préoccupé et songeur. Ils étaient au dessus d'une couverture grise, roulée en boule négligée.
Mais elle remuait. Remuait, et remuait. Comme si un petit animal tentait d'en sortir. C'était presque le cas. Bientôt, l'on aperçut une petite main bouger, et tendre les doigts, au dessus du tissu de laine. Le couple déglutit. Emmitouflée dans cette cape, une petite chose bien étrange. Ce qui aurait pu être un nourrisson, était d'une pâleur à frissonner. Les iris entièrement noires, sans une once de couleur. Aucune distinction entre les prunelles et les pupilles. Pour finir, quelques cheveux, d'un noir corbeau, trônaient sur son crâne. C'était une fille. Mais cette chose était-elle seulement humaine ? L'homme l'avait trouvé, dans le même état qu'actuellement, mais sur le sol de bois vieux et mort d'une maison, dans les Maleterres de l'Est. Ces terres avaient été foulées par le Fléau de non-morts, elles étaient dévastée, stériles. Il n'y avait plus que quelques fantômes hurleurs, qui hantaient ces lieux. Pourtant, au Compté-de-Darrow, au sud, dans une demeure perchée sur la colline, il avait trouvé cette chose, les yeux grands ouverts, silencieuse, remuant paisiblement dans son cocon. L'innocence au beau milieu de chaos.
Lorsqu'il avait vu ce visage de marbre, ces yeux noirs, il avait prit peur, il avait reculé. Mais ce n'était qu'un bébé. Il lui était inconcevable de le laisser moisir ici. Alors, il l'avait prit sous son bras, et était retourné chez lui, montrer sa trouvaille à son épouse. Elle avait eu peur, elle aussi. Mais c'était une femme. Une mère. Une mère éplorée, car leur enfant avait perdu la vie au cours d'un assaut. Elle restait une mère. Pour elle, l'avenir de cette petite si particulière était déjà tracé. Elle la nourrirait, la regarderait grandir, l'élèverait, comme si elle l'avait porté. Son époux n'était pas si confiant. Il se demandait quel montre pouvait-elle bien être, avec ces yeux -là. On ne discernait presque pas le blanc. Elle était hideuse. Pourtant, il céda. Et ils gardèrent la gamine, sans pour autant lui donner de nom. Elle en avait déjà un, il était comme brodé en lettres charbonneuses sur la cape. Ce n'était peut-être pas le sien, mais ils le gardèrent. Zhang.


Regardes-là. Le pantalon de toile grossier, brun, remonté au dessus ses genoux, et les pied dans l'eau. Regardes-là triturer cette bestiole morte, et arracher les plantes marines, de ses mains graciles. Sa sois-disant mère a noué sa chevelure noire en queue de cheval, ne laissant que quelques mèches glisser sur son front. Tout le monde sait que ce n'est pas leur vraie fille, aux deux amants, là. Ils ont les cheveux clairs tous les deux, la peau halé, les yeux bleus et verts. Pourtant, la gamine a des cheveux noirs corbeau et les yeux de la même teinte. On dirait une fantôme. Mais elle est bien vivante, jeune et intrépide, même si on la trouve étrange. Elle a commencé à parler une langue inconnu, sûrement des vestiges de sa terre natale. Regardes-là, avec cet air concentré et minutieux. Elle est drôlement habile, la petite. Tant mieux. Il est hors de question qu'elle passe sa vie à s'amuser dans le lac ou à aller s'attirer des ennuis dans les mines infestés de kobolds. Puisqu'elle s'ennuie tant, on la fera trimer dur. Elle verra.


La pluie était diluvienne. Épaisse. Presque douloureuse. Le ciel était grisâtre. Il faisait froid, à l'intérieur, même quand un feu chaleureux crépitait dans la cheminée. La gamine brune ignorait les paroles de sa famille d'adoption, trop concentrée à étudier les plantes et fleurs qu'elle avait ramassé. Elle susurrait des mots dans sa langue bizarre, fredonnait parfois une mélodie funèbre, et finit par ranger ses plantes dans des fioles. On lui demanda ce qu'elle comptait en faire. Des potions peut-être ? L'alchimie n'était pas le métier de ce village. Il s'était spécialisé dans l'élevage de chevaux, il y avait d'ailleurs une petite écurie à deux pas. Pas dans l'alchimie. Zhang déclara qu'elle se débrouillerait. Le couple échangea un regard troublé. La petite grimpa l'escalier et claqua la porte derrière elle.
D'un enchaînement de gestes lents, elle retira ses vêtements. Sa peau était laiteuse, parfaite, sans aucune marque. Cela l'horripilait. Alors, elle sortit un ce qui ressemblait à un encrier d'un tiroir et se conçut une aiguille de fortune. La plongeant dans le liquide noir, elle grava sur l'intérieur de sa cheville, un caractère étrange. « 萍 ». Appliquée, les sourcils froncés. Après de longues minutes, elle contempla fièrement la première ''souillure'' sur sa peau si blanche. Un soupir à fendre l'âme s'échappa de ses lèvres, suivi d'une ou deux larmes noirâtres.


Intemporelle visite, de ta chambre vide. Je t'aime, je t'aime. Tout reste vide. [Eths]
La chambre était désespérément vide. Il ne restait que quelques meubles. Ceux qui avaient jadis étaient recouverts de fleurs ou tâchés d'encre. L'odeur familière de parchemin s'effaçait, jours après jours. Celle qui fut à nouveau mère, ne l'était plus. Elle se sentait trahi, déchirée, profondément blessée. Celle qu'elle avait considéré comme sa fille, malgré la peur et l'horreur, s'en était allée. Pour la grande ville, au nord de la forêt. Sous ordre du mari, et des autres villageois. Personne n'avait compris. Nul ne s'était dit qu'aucune destinée n'est tracée à l'avance. Zhang avait débutait une vie normale, elle aurait pu s'épanouir dans ce village. L'éplorée, s'assit sur l'ancien lit de sa fille de constitution. Elle l'a connaissait bien, l'air de rien. Elle savait fort bien que dans peu de temps, même quelques années, la silhouette blanchâtre de Zhang fuirait, ailleurs. Pour faire on ne sait quoi. Peut-être, et sûrement, des choses redoutables. Elle songea à l'alchimie, fit un lien avec la magie nécromantique, le Fléau, la guerre, les ennemis. Elle eut peur. Peur de ce qu'allait devenir Zhang. Cette petite, si laide et si jolie.


Onze pauvre années. Onze pitoyables années, et déjà livrée à elle-même, dans une grande ville. On la largue d'une charrette avec une besace et une pomme. Lorsque le petit convoi se retire, elle leur lance un regard haineux. Toutes ces années à se tenir à carreau, à faire le travail demandé, à rendre service même. Si peu de gratitude, si peu de reconnaissance. Zhang enrageait. Son cœur se cognait contre sa poitrine, entre la colère et le chagrin. Son sang pulsait violemment, elle sentait ses tempes battre. Elle avait tout juste eu le temps de récupérer ses parchemins, ses fleurs et ses encres. On ne lui avait donné aucuns vêtements, juste un misérable bout de pain et une pomme. Pas même une gourde ! La fillette se releva et épousseta sa tunique, rassemblant ses affaires, elle se mit à errer dans la ville. Que faire maintenant ? Ici, il devait sûrement y avoir des maîtres de potions. L'occasion idéale. Mais qui voudrait d'une chose comme elle ? Ses yeux étaient toujours aussi noirs. Son visage toujours aussi révulsant. Les gens la regardait déjà avec méfiance et dédain. Au lieu de s'effacer, elle leur lançait des regards sifflants, se retenant de leur cracher à la figure. Dans un quartier marchand, elle inspecta chaque boutique et finit par trouver un "alchimiste". N'écoutant que son envie de s'établir et d'avoir un toit, elle largua sur le petit promontoire, le contenu de sa besace. Plantes, terriennes et aquatiques, fleurs, fioles, encres. Elle déclara que contre tout ça, et contre des ravitaillements d'ingrédients, l'homme à la robe bleuâtre devait la garder sous son toit et lui apprendre tout ce qu'il savait.Troublé, l'homme réfléchit. Il regarda le petite, bien grande pour son âge présumé, déterminée comme le serait une femme adulte, la voix creuse, le regard froid, et cet aspect effrayant qui émanait d'elle. Si elle promettait de ne pas causer d'ennuis, il acceptait. Elle promit.


Les années avaient passés. Zhang avait grandi, avait mûri, avait beaucoup apprit. Désormais âgée de dix sept ans, juchée sur ses nombreux centimètres, elle faisait ses petites expériences, dans sa chambre, sur des petits rongeurs, tels que les souris ou les rats. Elle les tuait froidement, les relevait. S'essayait à la magie noire, hautement prohibée en ces lieux. Qu'importait. Après tout, elle pouvait aussi bien être chassée, elle avait toutes les capacités intellectuelles et physiques de survivre désormais. Prévoyante pour toute une armée, elle conservait tout ce qu'on lui donnait, que ce soit livre, parchemins, nourriture. Elle ne la consommait pas, mais la gardait, de façon à ce qu'elle ne pourrisse pas. Vive la magie, dit-on.
Cependant, la chose à laquelle elle songeait à souriant arriva, un jour où elle ne s'y attendait pas. Son maître depuis des années, avec un nom qu'elle n'avait pas pris la peine de retenir, tomba sur le petit rat mort-vivant et lui ordonna de quitter la ville sous peine de hurler ses méfaits à toute la population. Préférant éviter de finir en fugitive, elle partit, avec tout son petit matériel, comme à ses onze ans, et vola une cheval au passage. Un magnifique étalon noir, entièrement noir, aux yeux bruns, qui avait toujours été violent avec les autres chevaux. Il avait même blessé volontairement sa mère. Elle décida de le nommer Matricis. Ne disposant d'aucun matériel de monte, elle chevaucha à crue. Vers un endroit qui l'intéressait tout particulièrement, les Clairières de Tirisfal.
On lui avait parlé du Fléau bien entendu, c'était précisément pour ça qu'elle se rendait là-bas. Désormais infestés de "réprouvés", les Clairières représentaient la chute d'un royaume humain, Lordaeron. On murmurait des choses, à Hurlevent. Terrible rumeur, sur les sombres projets d'une Dame Noire. Il fallait vérifier si c'était vrai. Et aviser par la suite.
La route fut longue, jusqu'aux ruines du château. Cependant, quand elle le trouva, elle ne fut pas déçu. Ainsi, au milieu des landes pourries, les ruines étaient absolument magnifiques. Elle s'y installa provisoirement, profitant discrètement de la végétation alentour pour compléter ses parchemins. Mais malgré sa discrétion, les fameux Réprouvés la trouvèrent. Elle fut jetée dans un cachot, avec des humains et même quelques nains.

Ils étaient tous terrifiés. Elle ignorait pourquoi. Mais au vu de leurs yeux voilés par la peur, de leurs respirations saccadées, des sanglots, il devait se tramer quelque chose d'assez terrible. Une nuit, alors qu'elle était recroquevillée dans un coin, la tête entre les jambes, ruminant de sombres sentiments, elle entendit des pas, le son inquiétant d'une grille qui s'ouvre et un cri. Une des femme de sa cellule. Elle se débattit, à en juger par les bruits, mais son bourreau lui hurla de se taire, auquel cas, elle subirait bien pire qu'une dégustation. Il ria, à ce mot. Zhang vit son intérêt s'éveillait. Elle releva la tête, et s'approcha discrètement de la grille pour voir ce qu'il se déroulerait. On agenouilla la femme, sous les yeux d'une silhouette encapuchonnée et d'un réprouvé. L'autre non-mort versa un godet dans la bouche de la prisonnière et la força à avaler. Elle pleurnichait, des sanglots horrifiques, sans aucune beauté. La jeune femme derrière la grille grimaça à cette écoute. Elle aimait les pleurs, elle aimait ceux qui étaient beaux. Les siens, à cette misérable femme, étaient atroces à en mourir. Mais ils se turent vite, car quelques secondes après qu'elle eut avalé le godet, elle convulsa, vomit un liquide épais et noirâtre avant de s'écrouler la tête la première dedans. Morte. La silhouette, soupira et reprocha cet échec au réprouvé à ses côtés. Sa voix était étrange, légèrement métallique. Comme un fantôme. Peut-être qu'elle était la Dame Noire ? Sûrement, car le mort-vivant lui donna un titre, quand il s'adressa à elle. Cette dernière repartit, sans un mot, et ce fut vite l'effervescence dans le laboratoire. Zhang commençait légèrement à comprendre. Les réprouvés tentaient de mettre au point quelque chose, mais restait à savoir quoi...

Son tour vint. Inexorablement, un réprouvé vint la chercher dans sa cellule. Mais elle ne se débattit pas. A quoi bon ? Elle s'était résignée, et elle avait eu raison. La cellule était juste à côté du laboratoire, où il y avait toujours plusieurs personnes. Elle était à Fossoyeuse! Désormais une capitale, celle des réprouvés. Comment aurait-elle pu imaginer une seconde de réussir à s'échapper ? Zhang était discrète certes, mais pas pour une évasion. Soit, elle se laissa faire, traînée devant le maître Apothicaire dont elle avait entendu le nom, Faranell. On lui versa le même liquide noir dans la bouche, et s'en suivit des secondes silencieuses, ou Zhang attendit de ressentir le mal étrange que causait cette mixture. Mais étrangement, elle ne se sentit pas mourir, elle ne convulsa même pas. Il y avait juste... Comme un souffle dans son corps, un souffle morbide qui faisait tout pourri. Sa peau se ternit soudainement, ses yeux s'assombrirent encore plus, et l'intérieur de son corps était désormais mort. Pourtant, son cerveau et son cœur subsistaient. C'était sûrement sa constitution pas totalement humaine, une défense propre à sa race qui s'était enclenchée. Elle leva les yeux vers la Dame Noire. Infiniment pâle, elle aussi. La peau légèrement grisâtre même. Mais la contemplation s'arrêta là. Persuadés qu'elle finirait pas mourir, on jeta Zhang à l’extérieur de Fossoyeuse. Grave erreur, car la jeune femme vit toujours à l'heure actuelle.

Après cela, se faisant passer pour une banshee ayant toujours la possibilité d'adopter une forme humaine, Zhang erra des années dans les Clairières de Tirisfal, avec un seul but, celui d'apprendre la magie nécromantique. Les Réprouvés ne cherchaient pas à relever les morts, ils cherchaient à éradiquer la vie et la mort, à l'heure façon. Par contre, le "Roi-Liche" et son Fléau, eux, relevaient chaque victimes de leurs épées pour en faire des soldats. L'envie de se joindre aux nécromanciens avaient fait son nid dans sa tête, et elle était bien décidée à y arriver. Ainsi, durant six longues années aux côtés des réprouvés, elle parvint à maîtriser la nécromancie. Elle avait aussi beaucoup apprit sur les choses qu'avaient engendré le Fléau. La Croisade Écarlate par exemple, qui avait un monastère au nord. Pauvres imbéciles, voilà comment Zhang les avait qualifier.
Une fois la magie nécromantique su sur le bout des doigts, elle entreprit un voyage vers le Fort Achérus. Il lui semblait qu'il était dans la même région que l'endroit où son père adoptif l'avait trouvé. Peut-être n'était-ce pas l'est mais l'ouest. Peu importait. Le voyage ne fut pas long, mais Zhang arriva à destination en retard par rapport à ses plans, à cause des jours de soleil qu'elle avait connu, bien qu'ils fussent rares. Le soleil la desséchait, comme une fleur sans eau. Elle en avait horreur, et avait failli perdre conscience plusieurs fois. Cependant, elle réussit à atteindre son but. De part son ambition, ses pouvoirs et sa dureté, elle réussit à intégrer les rangs du Fléau en tant que nécromancienne. Fière, elle sillonna de nombreuses années les terres avec ses compagnons pour relever les morts, dissimulée sous une cape noire.
Mais vint le funeste jour où le Roi-Liche, Arthas, qu'elle avait appris à apprécier, fut capturée et enfermé. Le généralissime qui l'avait enrôlé ainsi que de nombreux soldats s'en allèrent, se rendant soit disant compte des horreurs qu'ils avaient commises. Zhang fut déconcertée, déçue, peinée. Et blessée aussi. Durant une petite bataille, elle reçut un sort de malédiction, qui commença à craqueler sa peau jusqu'à la faire exploser. Ni une, ni deux, Zhang et sa fidélité de fer, décida de retourner aux Clairières de Tirisfal pour supplier Sylvanas et les Réprouvés de lui venir en aide. Elle leur promis des informations sur le Roi-Liche, sur ses plans, sur les créatures du Fléau, et elle jura qu'elle donnerait ses talents pour aider les Réprouvés. La Dame Noire accepta.
SITUATION ACTUELLE :
Désormais établit dans la Fossoyeuse, Zhang a intégré les Apothicaires, et travaille la plupart du temps dans l'atelier où elle était auparavant enfermée, et elle dispose d'un atelier et d'une "maison" [note: un endroit où elle vit, en dehors du travail avec les apothicaires, en gros] dans la capitale. Bien qu'elle serve Sylvanas, elle alimente toujours le désir de retourner servir Arthas et le Fléau. Sinon, comme elle le faisait au sein du Fléau, elle part souvent vagabonder sur son cheval dans les clairières et il lui arrive de revenir tâchée de sang. Il faut bien trouver de quoi se distraire...


Complément d'informations
EN SAVOIR PLUS SUR VOTRE PERSONNAGE :
  1. Quelle est l'opinion de votre personnage sur l'expansion de la Croisade Écarlate en Lordaeron ?
    Elle aimerait voir exploser leurs yeux, et moisir leurs chairs.
  2. Comment ressent-il les bouleversements climatiques qui frappent Azeroth ? Pense-t-il que les populations d'Azeroth puissent y faire quelque chose ?
    Zhang n'en a que faire. Du moment que la Lune survit...
  3. Que verrait votre personnage s'il avait accès au Rêve d'Émeraude ?
    Rien d'autre que le néant.
  4. Croit-il aux mythes et légendes d'Azeroth ? (la présence des Dragons, des démons, l'existence des Dieux Très Anciens...etc.)
    Elle croit ce que son instinct lui dicte. Alors oui, elle croit à certaines légendes.
  5. Que pense votre personnage du Marteau du Crépuscule, cette étrange secte vouant un culte aux Anciens Dieux ?
    Pour peu qu'ils ne l'importune pas.
  6. Quelle(s) est (sont) son (ses) ambition(s) ?
    Zhang espère toujours voir Arthas reprendre la tête du Fléau.
  7. Si votre personnage pouvait changer le passé, que modifierait-il ? (si vous le souhaitez, vous pouvez préciser plusieurs éléments)
    Rendre encore plus fous les humains qu'elle a côtoyé durant son enfance.
  8. Quelle(s) est (sont) sa (ses) plus grande(s) peur(s) ?
    L'humanité.
  9. Votre personnage a-t-il une (ou des) monture(s) ? Un (ou plusieurs) familier(s) ? Si oui, quels sont-ils ? Y est-il attaché ?
    Un cheval, aussi noir que sa chevelure. Aux prunelles pourpre. Lui aussi, à moitié mort. Matricis.
  10. Voulez-vous ajouter quelque chose ? (détails, informations intéressantes pour le RP, mot de la fin...etc.)
    Non.

5 MOTS : (liés à votre personnage)
    Inanis.
    Lunaris.
    Amentibus.
    Minaci.
    Insolentia.






AU DELÀ du personnage

Votre prénom ? ; Boo.
Votre âge ? ; A bon entendeur, j'ai quatorze ans.
Comment avez-vous découvert Warcraft Rôleplay ? ; Exploration du net en soucoupe volante.
Vos premières impressions ? ; Positives. Sinon, je ne serais pas (re)venue.











Dernière édition par Zhang Mortelune le Mer 19 Oct - 11:39, édité 6 fois
Revenir en haut Aller en bas
Dastaël Yeux-Éteints

Dastaël Yeux-Éteints
Paria



Feuille de personnage
Race: Elfe de Sang
Classe: Démoniste
Statut et/ou Métier(s): Enchanteur - Assassin.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 16 Oct - 21:10

    Bonsoir.

    Avant de venir donner un avis strictement objectif, j'aimerais revoir certains points de ta fiche qui me font méchamment tiquer. Je ne vais pas remettre en cause l'authenticité de ton personnage, mais il y a des choses sur lesquelles je voudrais quand même revenir. Ne crie pas au loup, je suis pas là pour démonter ta fiche, simplement que tu me rassures.

    De base, nos personnages ont beaucoup de similitudes. De mon point de vue, un démoniste a forcément des inclinations étranges et malsaines, je passe donc sur le fait que, l'une comme l'autre, elles soient dans l’ambiguïté " mort " et " vivant ". Ça implique aussi leur orgueil, leur solitude, leur mépris, leur regard inexpressif, leur allégeance envers Sylvanas, leur égoïsme et tutti quanti.

    C'est plus le physique, tu le verras par toi même, qui me fait un peu frétiller.

    Zhang Mortelune a écrit:
    [ ... ] Ses vêtements varient, entre les robes informes [ ... ]

    Dastaël Yeux-Éteints a écrit:
    [...]Dastaël n'apprécie pas beaucoup les armures. Alors elle se contente de vêtements légers, de lourdes robes en étoffes épaisses et brunes, vermeilles ou noirs, informes.[...]


    Zhang Mortelune a écrit:
    [ ... ] Sur le dos de Zhang sont tatoués des caractères, dans une langue inconnue, le long de sa colonne vertébrale effroyablement apparente. [ ... ]

    Dastaël Yeux-Éteints a écrit:
    [...] Des runes elfiques sont tatouées du haut de son échine jusqu'au coccyx, longeant la colonne vertébrale. [...]


    Je t'avoue franchement que les coïncidences qui s'accumulent de cette manière me laissent perplexes. Je ne me suis pas aventurée sur son histoire, et je doute de trouver le fruit d'un heureux hasard là dedans, en revanche, tu comprendras que la situation me met mal à l'aise.
Revenir en haut Aller en bas
Zhang Mortelune

Zhang Mortelune



Feuille de personnage
Race: Mort-Vivant
Classe: Autre
Statut et/ou Métier(s): Alchimiste ~ Apothicaire ; Herboriste.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeLun 17 Oct - 5:04

Bonjour!

Je prends le temps de répondre, quitte à me mettre en retard, car quand j'ai vu ça, j'ai légèrement halluciné, parce que ce n'est franchement pas voulu. Pour ce qui est des tenues, j'avais déjà mis ça, à l'époque, quand j'étais inscrite mais pour les caractères sur la colonne vertébrale, ça m'est venu comme ça. Alors, n'étant qu'un détail, je le retirerais sans problème ce soir, et trouverait un moyen de formuler le style vestimentaire d'une autre manière, de façon à ce que les similitudes disparaissaient. Pour ce qui est du penchant "mort" et "vivant", à l'heure actuelle, c'est un détail, mais dans la suite de l'histoire, vous verrez que mon personnage est réellement entre les deux, j'ignore d'ailleurs si cela sera encore une fois acceptée. Encore pardon, je comprends tout à fait que ces coïncidences ai pu vous troubler.

EDIT : Les modifications effectuées ont été colorées en gris.
Revenir en haut Aller en bas
Essnälth

Essnälth
Personnalité



Feuille de personnage
Race: Humain
Classe: Aucune
Statut et/ou Métier(s): Musicien (guitariste), Trafiquant, Prestidigitateur.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeLun 17 Oct - 9:08

Merci pour cette réaction. =)
Revenir en haut Aller en bas
Zhang Mortelune

Zhang Mortelune



Feuille de personnage
Race: Mort-Vivant
Classe: Autre
Statut et/ou Métier(s): Alchimiste ~ Apothicaire ; Herboriste.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeMer 19 Oct - 11:41

Bonjour!
Voilà, la fiche est terminée.

Cependant, en ce qui concerne l'histoire, j'ai mélangé un peu les parties "littéraires" et les parties écrites sous forme de résumé, pour avant-tout voir si le parcours de mon personnage est accepté, ainsi que mes petits "accrocs" au contexte. Si tout passe, je prendrais le temps de réécrire de façon plus fluide et détaillé, d'autant que j'aime vraiment le personnage de Zhang. Enfin bref! Je laisse la fiche à vos jugements.

PS (edit) : En ce qui concerne certains détails de l'histoire, comme la peste préparée par Sylvanas, je me base sur le contenu du livre l'Ascension du Roi-Liche (Christie Golden) ainsi de la "preuve" se trouvant directement dans Fossoyeuse, in game (ce fameux atelier avec les cellules de cobayes). Je précise, au cas-où cela sèmerait le trouble.
Revenir en haut Aller en bas
Dastaël Yeux-Éteints

Dastaël Yeux-Éteints
Paria



Feuille de personnage
Race: Elfe de Sang
Classe: Démoniste
Statut et/ou Métier(s): Enchanteur - Assassin.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeJeu 20 Oct - 9:08

    Je m'occupe de ta fiche demain soir. (:
Revenir en haut Aller en bas
Essnälth

Essnälth
Personnalité



Feuille de personnage
Race: Humain
Classe: Aucune
Statut et/ou Métier(s): Musicien (guitariste), Trafiquant, Prestidigitateur.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 23 Oct - 14:13

En attente de validations =)
Revenir en haut Aller en bas
Dastaël Yeux-Éteints

Dastaël Yeux-Éteints
Paria



Feuille de personnage
Race: Elfe de Sang
Classe: Démoniste
Statut et/ou Métier(s): Enchanteur - Assassin.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 23 Oct - 14:39

    Ouais, ow, ça va hein. I love you J'étais assez occupée, désolée pour le retard.

    J'aime bien ta fiche, tu écris plutôt bien et c'est assez agréable dans l'ensemble. Fais simplement attention à ta ponctuation, il y a trop de points qui hachent ton texte, cassent le rythme de lecture et du coup alourdissent ton style, c'est dommage.
    Je te valide.
Revenir en haut Aller en bas
Urìel Teredor

Urìel Teredor
Soldat



Feuille de personnage
Race: Humain
Classe: Paladin
Statut et/ou Métier(s): Commandeur de Fort-de-Durn / Général de l'Avant-garde Écarlate du Sud Lordaeron / Inquisiteur / Enchanteur d'armes

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 23 Oct - 15:52

De même, validé.
Revenir en haut Aller en bas
Essnälth

Essnälth
Personnalité



Feuille de personnage
Race: Humain
Classe: Aucune
Statut et/ou Métier(s): Musicien (guitariste), Trafiquant, Prestidigitateur.

Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitimeDim 23 Oct - 15:53

Fiche validée, bon jeu!
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé



Stultitiae Laus. Vide
MessageSujet: Re: Stultitiae Laus.   Stultitiae Laus. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Stultitiae Laus.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Warcraft Roleplay :: Accueil [ HRP ] :: Registre des personnages :: Personnages actifs-